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DEMOGRAPHIE VILLE GÉNÉALOGIE POLIGNÉ
DEMOGRAPHIE VILLE
GÉNÉALOGIE POLIGNÉ
En 1790, un Poligné était notaire à La Gacilly (Histoire de La Gacilly p. 361) et un autre tenait l’hôtel des Voyageurs également à La Gacilly, au Bout du Pont.
En 1856, Louis Poligné est propriétaire du moulin à grain et de la chamoiserie ; un arrêté préfectoral permet d’en apporter la preuve : « Poligné Louis est autorisé à maintenir en activité les usines destinées à la mouture des céréales qu’il possède sur les deux rives de l’Aff, aux deux extrémités du pont de La Gacilly sur la commune de La Gacilly, à développer les édifices du moulin situé sur la rive gauche de la rivière, à porter à un mètre la largeur du coursier de l’usine située sur la rive droite ».
En 1878, le moulin à grain de la rive gauche devient une minoterie qui sera vendue en 1896 au sieur Denis, celui-là même qui fera construire quelques années plus tard la jolie demeure située en face de l’ancien magasin du fileur de verre. Quant à la chamoiserie, elle est devenue propriété de la commune le 4 août 1878, auprès de François Poligné pour une partie et l’autre à Madame Aristide Boucher, veuve Doncker (Conseil Municipal du 4-8-1878) puis un édifice à exproprier et en 1896, ce sera un terrain communal.
En 1856, Louis Poligné est également propriétaire du bâtiment qui deviendra la gendarmerie (ancien office de tourisme). Remaniée en 1828 par Louis Poligné, elle devient la propriété de Louis Bourrée, le gendre de Louis Poligné, en 1878 et est dénommée Hôtel Bourrée. Ce dernier était capitaine des pompiers de La Gacilly en 1869. Le 18 juillet 1884, elle devient la nouvelle gendarmerie.
François Poligné était maire de Tréal en 1899. En 1863, il avait acheté la propriété de la Guichardaye en Tréal avec Julien Périgot qui avait épousé la sœur de François, Rose Poligné. C’est lui qui aura l’idée de faire construire une école publique à Tréal ; elle sera réalisée par son neveu Louis Bourrée et inaugurée en 1890. Alexandre, le frère de François, deviendra médecin à Ploërmel. (Tréal de l’abbé Texier p. 77)
François eut deux enfants :
Marie Joseph Bourrée, fils de Joseph et de Anne Chollet, né à Montfort-sur-Meu le 13 septembre 1812, il épouse, le 14 novembre 1852, Marie Louise Mathurine Poligné, la fille de Louis. Marie Joseph Bourrée, d’abord marchand à Redon puis à La Gacilly, devient entrepreneur au mariage de sa fille. Puis, à la naissance de son fils Louis le 18 juin 1856, il est dit maître d’hôtel à La Gacilly. Il l’est toujours à la naissance de son deuxième fils Alexandre le 2 septembre 1858, il deviendra médecin le 1° décembre 1836, viendra exercer à La Gacilly et écrira une thèse : « Contribution à l‘étude de la grenouillette aigüe sublinguale ». (Paris II Jouve 1836, in 8°, 56p.)
Louis Bourrée, , fils de Marie Joseph Bourrée, deviendra entrepreneur à Tréal (Histoire de La Gacilly p. 454) où il épousera Rose Poligné, la fille de François Poligné, le maire de Tréal. Ils habitent dans le bourg une grande maison achetée aux Orinel. C’est lui qui construira la mairie-école de Tréal, de Guer et de La Gacilly. (Tréal p. 95)
Marie Louise, la fille de Marie Joseph Bourre et de Marie Louise Poligné, née le 2 septembre 1853, épouse, le 11 février 1879, Hyppolite Hallier, natif de Plessé, et entrepreneur au village de Rozay en Plessé ; Marie Joseph Bourrée est alors dit propriétaire à La Gacilly.
François Poligné, fils de Joseph, époux de Jeanne Dréano, quittera un jour son domicile et ne donnera plus aucun signe de vie. L’une de ses filles naîtra un premier janvier. Son fils, Étienne, né en 1841 à la Bergerie, époux de Anne Danet, était mineur en 1876, vraisemblablement à la mine de fer de Sourdéac.
Joseph Marie Poligné, fils de Joseph et de Mathurine Jagut, né le 20 octobre 1833, deviendra maréchal des logis d’artillerie (10m58)
Jean Marie Poligné, le frère de Joseph Marie ci-dessus, deviendra clerc de notaire (43d68)
Georges Poligné, époux de Thérèse Clavier, était tourneur en 1795 (Histoire de La Gacilly p. 412)
Louise Poligné, était l’épouse de Jean Julien Mabon en 1795 (Histoire de La Gacilly p. 416)